Carnet de Voyage au Maroc

Madrid

juillet 10, 2007 on 6:48 | In 1-3: Escale a madrid | No Comments

Bien arrivés à Madrid

Je n’aime toujours pas les décollages. Joe n’aime pas les attérissages. De métro en métro nous avons trouvés comme des chefs le chemin de notre hotel.

Nous avons acheté un “uno de diez”. 10 Voyages avec un seul ticket pour bus et métro, supplement de 1 euro pour prise en charge à l’aéroport (attention en cas de re “départ” de l’aeroport - au retour par exemple - il faudra repayer les 1 euro de prise en charge) Prix de ce tiket : 6 euros (+1).

Nous retournons prendre nos sacs. Le type à l’accueil n’est plus le meme, il comprend nettement moins autre chose que l’espagnol, mais nous mimons la clé, les bagages et nous nous en sortons. Direction l’aeroport. Arrivés bien à l’heure.

L’aeroport de Madrid est immense.

Pop Hotel. Simple mais l’esprit nous va bien. Une espèce d’auberge de jeunesse remise au gout du jour, des dortoirs de 4, 6 ou 8 personnes. Un accueuil jeune et sympathique, en anglais ou en espagnol, italien compris également, pas le français.

Il est tard mais nous avons faim. Nous ressortons pour trouver quelque chose à manger. Joe veut des bocadillos (on a compris apres que c’était des sandwitches).

Visiblement nous sommes dans un quartier relativement chaud de madrid. Boutiques de tatoo, de piercings, prostitutions mais rien d’agressif ou qui puissent nous faire sentir mal à l’aise. Les “snacks” madrilenes sont encore fumeurs… on se sent quand même coupables, responsabilisés, enfin, les français? Moi en tout cas semble t’il.

Nous retournons à l’auberge il est deux heures du matin. Nous sommes un peu restés sur notre fin. Le type de l’hotel nous avait annoncé des bocadillos énormes a cet endroit là, ou peut etre avons nous trop faim nous les avons trouvé rachitiques!!!

Deux personnes sont déjà dans le dortoir, la chambre est concue de telle facon que nous ne voyons que leur pied et eux ne voit rien… c’est bien fait. Salle de bain et toilettes à l’intérieur de la chambre, murs taggués artistiquement. Dans le couloir une salle télé casse croute.

Dodo chacun dans son lit puisque ce sont des lits gigognes, bon ok, c’est pas glamour glamour pour notre première nuit de vacances.

Réveillés plus tot que nous ne l’aurions souhaité par nos compagnons de chambrée. Ils font leur bagages et le moins qu’on puisse dire c’est qu’ils ne sont pas supers discrets, il ouvre la porte du couloir, la laisse ouverte, papotte et papotte. Joe et moi essayons de trouver leur nationalité et contre toute attente, ils sont danois.

Aie plus d’eau chaude.

Nous laissons les bagages à la consigne de l’hotel pour un euro la journée. Les bagages sont tous stockes dans une espece de petite chambre dont le type de l’accueil détient la clé et la donne à qui doit aller chercher son sac (suffit d’avoir confiance).Café américain au soleil d’une terrasse madrilene (café americain = soupe noire servie dans un tres grand verre en carton brulant). Je n’arrive pas à sortir un seul mot en espagnol moi qui l’ai étudié presque 12 ans. Tout viens en italien, anglais a peine.

On mixe, anglais, italien, français et les mains.

Ballade dans Madrid que nous ne connaissons pas. Et au premier coup d’oeil, nous nous disons que Barcelonne est quand meme beaucoup plus vivante.

Les bars n’ont pas les terrasses au soleil comme nous l’esperions à part bien sur sur la mayor. Les rues sont animées. Les sirenes des voitures de police dignes d’un dessin animé.

Le plan de la ville à la main nous allons vers les principaux monuments et principales places mais c’est dans un parc que nous nous posons en attendant l’heure du vol. Madrid ne nous séduira pas, nous ne sommes pas réceptifs, trop hate d’être au Maroc.